Nous nous dirigeons tout d'abord vers les îles flottantes. Elles étaient occupées par un peuple appelé Uros, venu vivre sur le lac car d'autres civilisations l'avaient chassé de la terre ferme. Tous les Uros ont aujourd´hui disparu, mais d'autres habitants ont pris leur place.
Environ 2000 habitants vivent sur 45 îles: ils disposent d'un hôpital et d'une école, eux aussi flottants.
Le centre de santé des îles Uros
Même si les habitants vivent aujourd'hui essentiellement du tourisme, ils pratiquent encore certaines activités qui faisaient le quotidien des anciens Uros:
- la pêche: le plsu grand poisson du lac est la truite, qui mesure jusau'à 1,5 metre. Mais elle n'est pas originaire du Pérou, elle a été ammenée depuis le Canada.
- la chasse des oiseaux du lac. Pas de frigidère sur les îles Uros, les habitants sont donc obligés de faire sécher et de saler la viande pour la conserver.
La seule électricité dont disposent les habitants provient de panneaux solaires qui permettent de faire fonctionner quelques lampes et téléviseurs.
- la collecte des oeufs des mêmes oiseaux
Arrivé sur la première île, nous avons le droit à une démonstration par le chef de l'île, qui nous explique comment il est possible de construire une île flottante.
Tout est fabriqué grâce à une plante appelé totora, sorte de jonc qui mesure de 5 à 8 mètres. C'est aussi avec la totora que les habitants des Uros construisent les bateaux qui leur permettent de se déplacer et de transporter les nombreux touristes qui visitent l'endroit.
A noter que la totora peut se manger. Nous avons essayé, mais cela n'a pas beaucoup de goût...
Une fois l'île terminée, les habitants y construisent leur maison, toujours en totora.
Pour éviter que les îles ne dérivent, elles sont amarées à l'aide de grosses pierres. Lorsque le président de l'île le décide, il suffit de larguer les amares pour changer de lieu sur le lac.
Une fois quitées les îles flottantes, nous reprenons le bateau pour un trajet de trois heures nous amenant jusqu'à l'île d'Amantani, où nous passerons la nuit. Sur cette île vivent 10 communautés différentes, qui se différencient par la couleur de leurs vêtements.
Les habitants d'Amantani se consacrent essentiellement à la pêche, à l'agriculture, au textile et au travail de la pierre.
Lorsque nous arrivons sur l'ìle, on nous indique la famille qui nous accueilleras pendant notre séjour sur l'île. Le repas qu'on nous sert est délicieux, mais ici pas d'électricité, il faudra s'éclairer à la bougie...
Une fois rassasiés, nous partons pour une petite promenade vers le sommet de l'île, où se dresse le Pachatata. Dans ce temple dédié au dieu soleil, les anciens habitants de l'île déposaient des offrandes, au moment des solstices d'hiver et d'été. Petite question au passage, savez-vous quels jours ont lieu ces solstices?
Lors de cette mini randonnée, nous découvrons les superbes paysages qui s'étendent à nos pieds.
Redescendus au village, nous partons dîner avec notre famille d'accueil, avant de repartir pour une soirée organisée pour les habitants. Tout le monde en costume péruvien, et on dance la farandole au son des guitares et des flûtes de pan de l'orchestre local.
Pendant que nous dansons, un énorme orage s'abat sur l'île. Lorsque nous sortons pour aller nous coucher, nous constatons qu'il s'agissait de gros grêlons: du jamais vu en cette saison. Il en est tombé tellement qu'on dirait de la neige.
Le lendemain matin, nous partons pour l'île de Taquile, notre dernière escale. Les habitants de Taquile sont les rois du textile, un art qu'ils apprennent depuis l'âge de 5 ans. Du temps des Incas, c'était ici qu'étaient fabriqués la majorité des vêtement utilisés à la cour de l'empereur.
- la pêche: le plsu grand poisson du lac est la truite, qui mesure jusau'à 1,5 metre. Mais elle n'est pas originaire du Pérou, elle a été ammenée depuis le Canada.
- la chasse des oiseaux du lac. Pas de frigidère sur les îles Uros, les habitants sont donc obligés de faire sécher et de saler la viande pour la conserver.
La seule électricité dont disposent les habitants provient de panneaux solaires qui permettent de faire fonctionner quelques lampes et téléviseurs.
- la collecte des oeufs des mêmes oiseaux
Arrivé sur la première île, nous avons le droit à une démonstration par le chef de l'île, qui nous explique comment il est possible de construire une île flottante.
Tout est fabriqué grâce à une plante appelé totora, sorte de jonc qui mesure de 5 à 8 mètres. C'est aussi avec la totora que les habitants des Uros construisent les bateaux qui leur permettent de se déplacer et de transporter les nombreux touristes qui visitent l'endroit.
A noter que la totora peut se manger. Nous avons essayé, mais cela n'a pas beaucoup de goût...
Une fois l'île terminée, les habitants y construisent leur maison, toujours en totora.
Pour éviter que les îles ne dérivent, elles sont amarées à l'aide de grosses pierres. Lorsque le président de l'île le décide, il suffit de larguer les amares pour changer de lieu sur le lac.
Une fois quitées les îles flottantes, nous reprenons le bateau pour un trajet de trois heures nous amenant jusqu'à l'île d'Amantani, où nous passerons la nuit. Sur cette île vivent 10 communautés différentes, qui se différencient par la couleur de leurs vêtements.
Les habitants d'Amantani se consacrent essentiellement à la pêche, à l'agriculture, au textile et au travail de la pierre.
Lorsque nous arrivons sur l'ìle, on nous indique la famille qui nous accueilleras pendant notre séjour sur l'île. Le repas qu'on nous sert est délicieux, mais ici pas d'électricité, il faudra s'éclairer à la bougie...
Une fois rassasiés, nous partons pour une petite promenade vers le sommet de l'île, où se dresse le Pachatata. Dans ce temple dédié au dieu soleil, les anciens habitants de l'île déposaient des offrandes, au moment des solstices d'hiver et d'été. Petite question au passage, savez-vous quels jours ont lieu ces solstices?
Lors de cette mini randonnée, nous découvrons les superbes paysages qui s'étendent à nos pieds.
Redescendus au village, nous partons dîner avec notre famille d'accueil, avant de repartir pour une soirée organisée pour les habitants. Tout le monde en costume péruvien, et on dance la farandole au son des guitares et des flûtes de pan de l'orchestre local.
Pendant que nous dansons, un énorme orage s'abat sur l'île. Lorsque nous sortons pour aller nous coucher, nous constatons qu'il s'agissait de gros grêlons: du jamais vu en cette saison. Il en est tombé tellement qu'on dirait de la neige.
Le lendemain matin, nous partons pour l'île de Taquile, notre dernière escale. Les habitants de Taquile sont les rois du textile, un art qu'ils apprennent depuis l'âge de 5 ans. Du temps des Incas, c'était ici qu'étaient fabriqués la majorité des vêtement utilisés à la cour de l'empereur.
Joli gilet non?
Les vêtement sont ici très importants car chacun a une signification bien précise. Par exemple, les hommes mariés portent un bonnet entièrement rouge, alors que les hommes célibataires portent un bonnet mi-rouge mi-blanc.
Lors de notre promenade dans l'île, nous découvrons de superbes paysages, avec les traditionnelles terrasses en étages et la vue sur le lac Titikaka.
Sur la place centrale de l'île, des panneaux indiquent la distance avec les grandes capitales mondiales.
Avant de quitter Taquile, nous dégustons une succulente trucha a la plancha (truite grillée) fraîcnement pêchée. Avec vue sur l'immensité bleutée du lac Titikaka s'il vous plait...
Mais il est déjà temps de partir, et de descendre vers le bateau qui nous ramènera vers Puno, heureux après ce séjour sur les île du deuxième plus grand lac du monde.
Lors de notre promenade dans l'île, nous découvrons de superbes paysages, avec les traditionnelles terrasses en étages et la vue sur le lac Titikaka.
Sur la place centrale de l'île, des panneaux indiquent la distance avec les grandes capitales mondiales.
Avant de quitter Taquile, nous dégustons une succulente trucha a la plancha (truite grillée) fraîcnement pêchée. Avec vue sur l'immensité bleutée du lac Titikaka s'il vous plait...
Mais il est déjà temps de partir, et de descendre vers le bateau qui nous ramènera vers Puno, heureux après ce séjour sur les île du deuxième plus grand lac du monde.