
Nous commencçons par une descente vertigineuse au fond du canyon, pour arriver, après une heure de marche, à San Juan de Chucho, environ 1000 mètres en-dessous de Cabanaconde.
L'arrivée à Tapay, enfin...
Après Tapay, nous redescendons à nouveau vers le fond du canyon, en passant par les petits villages de Cosnirhua et Malata. C'est l'heure de la sieste, par cette chaleur accablante, tous les habitants sont enfermés chez eux et ne nous rencontrons personne dans les rues.



Au fond du canyon nous attend une bonne surprise. Le fleuve y a créé une oasis de verdure où se sont installés quelques petits hôtels, qui accueillent les touristes fatigués par leur journée de marche.


Chaque hôtel possède une petite piscine: l'eau est un peu froide, mais il est bien agréable de faire quelques brasses pour détendre ses muscles épuisés par les montées et descentes successives sur les pentes abruptes du canyon de Colca.



Le lendemain matin, réveil à 6 heures de matin et départ à 7 heures après un petit déjeuner fait de riz et de petites truites grillées. Il faut remonter les 1000 mètres qui séparent le fond du canyon du Cabanaconde et nous partons tôt pour profiter de la fraîcheur de la matinée.
Après un peu moins de deux heures de marche, nous arrivons en haut du canyon, fatigués et trempés de sueur, mais fascinés par les vues splendides que nous avons pu admirer.





Avant de rentrer à Arequipa, nous nous arrêtons une petite heure au mirador de la Cruz del Condor. De nombreux touristes d'y arrêtent pour admirer la superbe vue sur le canyon de Colca. Ils viennent aussi dans l'espoir de contempler le vol majestueux des condors. Pas toujours facile de les apercevoir, on passe parfois plusieurs heures sans en voir un seul.



Maiis nousi avons eu beaucoup de chance, après à peine 10 minutes d'attente, un condor est venu planer à quelques mètres de nos yeux ébahis. Ce moment magique ne dure qu'un instant, pas le temps de prendre une photo, mais nous ne sommes pas prêts d'oublier la beauté du vol des seigneurs su canyon de Colca.

Après Tapay, nous redescendons à nouveau vers le fond du canyon, en passant par les petits villages de Cosnirhua et Malata. C'est l'heure de la sieste, par cette chaleur accablante, tous les habitants sont enfermés chez eux et ne nous rencontrons personne dans les rues.
Au fond du canyon nous attend une bonne surprise. Le fleuve y a créé une oasis de verdure où se sont installés quelques petits hôtels, qui accueillent les touristes fatigués par leur journée de marche.
Après un peu moins de deux heures de marche, nous arrivons en haut du canyon, fatigués et trempés de sueur, mais fascinés par les vues splendides que nous avons pu admirer.
Une fois arrivés en haut, quand on regarde ce qu'on a monté, on en a presque le vertige...
A défaut de la photo du vrai condor, voilà celle de la statue de la plaza de armas de Cabanaconde...
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